Guérir par le phénomène du Remède Radionique Artificiel selon les théories de la matérialisation radiesthésique, c’est guérir par l’esprit des remèdes véhiculés par l’eau, qui est l’élément vital de l’homme.
Guérir, prévenir et se soigner sans danger, d’une manière simple et naturelle, c’est ce que permettent les remèdes radioniques.
La matérialisation radiesthésique, longuement étudiée dans une remarquable investigation des frères Servranx et de leurs collaborateurs, pionniers de la radionique, démontre que la technique du remède Artificiel est plus qu’une réalité : une évidence.
La prudence toutefois s’impose et cette médecine parallèle ne devra en aucun cas interférer ni se substituer aux traitements en cours dans les pathologies graves et suivies médicalement…
Il appartient donc à chacun d’agir en fonction de sa responsabilité et de l’éthique, et d’utiliser les remèdes radioniques pour la prévention et la guérison des maladies courantes et bénignes qui découlent de l’automédication. Pour les pathologies plus graves, les remèdes radioniques pourront servir sans aucun danger comme adjuvant aux traitements en cours.
Les remèdes radioniques ont été élaborés par D.R.J. Winsfield. La conception du dessin émetteur est l’un des fruits des nombreux travaux et recherches de Raphaël Dajafée qui a élaboré un dessin émetteur ultrarapide pour la charge et l’imprégnation d’un liquide de mots témoins.
L’eau a-t-elle une mémoire ? Ce sujet a créé une controverse… Pour le radionicien et le radiesthésiste, cela ne fait aucun doute : l’eau a une mémoire et véhicule l’esprit et les influences des choses, des remèdes dont elle s’imprègne. L’eau bénite en est un exemple : le prêtre, en priant avec foi sur l’eau, la charge de l’influence bénéfique de sa prière. L’eau ainsi imprégnée, va soulager, voire guérir le croyant, purifier les lieux et les objets, non pas par magie, mais parce qu’elle devient le véhicule de l’énergie sacrée de la prière. Les eaux miraculeuses (Lourdes par exemple) s’imprègnent de toutes les vertus de la foi des pèlerins et celui qui la boit absorbe une partie de l’hégrégore sacré des lieux saints.
En s’imprégnant, l’eau cesse d’être un élément neutre, elle véhicule la pensée et la prière. Par la charge radionique elle véhicule l’esprit des remèdes, c’est ici qu’intervient la synergie de la nature. Toutes mes expériences m’ont démontré que la charge d’imprégnation ne trouvait son écho qu’avec les remèdes homéopathiques, phytothérapeutiques ou des produits qui sont intégrés à la substance universelle originelle : les remèdes de synthèse (allopathiques et chimiques) ne relèvent pas selon moi de la création du Remède Artificiel par imprégnation radionique et cela s’explique par leur côté artificiel. Car ces remèdes, à la différence de l’homéopathie et de la...
Guérir par le phénomène du Remède Radionique Artificiel selon les théories de la matérialisation radiesthésique, c’est guérir par l’esprit des remèdes véhiculés par l’eau, qui est l’élément vital de l’homme.
Guérir, prévenir et se soigner sans danger, d’une manière simple et naturelle, c’est ce que permettent les remèdes radioniques.
La matérialisation radiesthésique, longuement étudiée dans une remarquable investigation des frères Servranx et de leurs collaborateurs, pionniers de la radionique, démontre que la technique du remède Artificiel est plus qu’une réalité : une évidence.
La prudence toutefois s’impose et cette médecine parallèle ne devra en aucun cas interférer ni se substituer aux traitements en cours dans les pathologies graves et suivies médicalement…
Il appartient donc à chacun d’agir en fonction de sa responsabilité et de l’éthique, et d’utiliser les remèdes radioniques pour la prévention et la guérison des maladies courantes et bénignes qui découlent de l’automédication. Pour les pathologies plus graves, les remèdes radioniques pourront servir sans aucun danger comme adjuvant aux traitements en cours.
Les remèdes radioniques ont été élaborés par D.R.J. Winsfield. La conception du dessin émetteur est l’un des fruits des nombreux travaux et recherches de Raphaël Dajafée qui a élaboré un dessin émetteur ultrarapide pour la charge et l’imprégnation d’un liquide de mots témoins.
L’eau a-t-elle une mémoire ? Ce sujet a créé une controverse… Pour le radionicien et le radiesthésiste, cela ne fait aucun doute : l’eau a une mémoire et véhicule l’esprit et les influences des choses, des remèdes dont elle s’imprègne. L’eau bénite en est un exemple : le prêtre, en priant avec foi sur l’eau, la charge de l’influence bénéfique de sa prière. L’eau ainsi imprégnée, va soulager, voire guérir le croyant, purifier les lieux et les objets, non pas par magie, mais parce qu’elle devient le véhicule de l’énergie sacrée de la prière. Les eaux miraculeuses (Lourdes par exemple) s’imprègnent de toutes les vertus de la foi des pèlerins et celui qui la boit absorbe une partie de l’hégrégore sacré des lieux saints.
En s’imprégnant, l’eau cesse d’être un élément neutre, elle véhicule la pensée et la prière. Par la charge radionique elle véhicule l’esprit des remèdes, c’est ici qu’intervient la synergie de la nature. Toutes mes expériences m’ont démontré que la charge d’imprégnation ne trouvait son écho qu’avec les remèdes homéopathiques, phytothérapeutiques ou des produits qui sont intégrés à la substance universelle originelle : les remèdes de synthèse (allopathiques et chimiques) ne relèvent pas selon moi de la création du Remède Artificiel par imprégnation radionique et cela s’explique par leur côté artificiel. Car ces remèdes, à la différence de l’homéopathie et de la phytothérapie soignent plus l’effet que la cause.
Les témoins des remèdes radioniques selon la médecine de Ste Hildergarde von Bingen associés à leur dessin émetteur permettent donc la création d’un Remède Artificiel et cela d’une manière très simple : il suffit de poser un verre d’eau (ou une bouteille) au milieu du dessin émetteur puis laisser l’eau se charger des influences curatives du remède choisi.
Une charge minimum de 10 minutes est suffisante pour un verre d’eau et 1 heure pour une bouteille d’eau
Après le temps de charge, il suffira de boire l’eau qui agira de la même manière (et bien souvent, c’est cela qui est surprenant, avec plus d’efficacité, mais avec une action plus lente) que le remède original.
La posologie sera instinctive et l’on pourra charger et boire plusieurs verres selon les besoins ressentis. Le traitement s’espaçant et s’arrêtant avec l’amélioration et la guérison de la maladie et de ses symptômes. Chacun réagissant différemment, il n’y a pas de posologie de base, la plupart des améliorations ayant été constatées au bout du deuxième et troisième verre.
Comment expliquer l’efficacité de la charge
du dessin émetteur ?
Principalement par la puissance de valorisation du triple décagone qui cercle l’émetteur de base.
Le décagone, grâce à sa structure géométrique émet une force vibratoire créatrice qui imprègne l’eau ou toute substance neutre passée en son centre des influences du ou des mots témoin qui sont écrits autour ou à l’intérieur de celui-ci et qui représentent la ou les substances destinées à agir (thérapeutiquement dans notre cas) sur la ou les personnes et organismes à traiter.
Cette eau chargée de l’influence de l’esprit des remèdes agira comme l’équivalence d’un remède avec tous les avantages, mais sans aucun inconvénient, car ça n’est que l’esprit du remède et sa force curative qui sont véhiculés par l’eau et qui vont agir et guérir à l’exclusion de toutes autres substances qui pourraient être directement ou indirectement nocives à l’organisme humain.
Il n’y a aucun danger, les imprégnations agissent doucement de manière insensible.
Prenons un exemple : dans le cas d’une migraine, le patient qui prendrait un antalgique ne sentirait plus rien au bout de quelques dizaines de minutes.
Avec une eau imprégnée, un temps plus long sera nécessaire pour que l’effet bénéfique se fasse sentir (entre 20 et 40 minutes environ), le résultat sera plus stable, il n’y aura pas d’effet secondaire et l’on pourra prendre plusieurs imprégnations jusqu’à disparition totale de tous les symptômes.
Il n’y a aucun risque de saturation, on arrête le traitement dès que le mal disparaît. En cas d’erreur dans le choix de l’imprégnation, comme avec un remède homéopathique, il ne se passera rien, tout au plus une possible élimination abondante.
Le remède artificiel n’est pas destiné à remplacer la médecine classique.
Il est un adjuvant, un complément économique et parallèle et s’inscrit dans le cadre des médecines douces et alternatives.
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