SUICIDES Philippe De Ségur - Témoignages de L'Au -Delà

«Suicides – Témoignages de l’au-delà », le nouveau livre de Philippe de Ségur, est basé exclusivement sur des faits réels.

Si, Dieu merci, toute mort n’est pas volontaire, le suicide est loin d’être marginal.

Jugez-en : chaque année, rien qu’en France, il y a environ 12 000 hommes et femmes qui décèdent par suicide (soit une mort volontaire toutes les quarante-trois minutes).

 

Philippe de Ségur intervient à la demande des familles lorsque ces dernières sont désemparées par la perte d’un être cher s’étant donné la mort.

Elles peuvent alors faire leur deuil, car elles ont reçu des réponses aux questions qu’elles se posent.

 

Par exemple :

 

·        Le suicidé est-il conscient de ce que son acte peut provoquer ?

    Les suicidés peuvent-ils se réincarner ?

·        Ceux qui se suicident sont-ils ou ont-ils été des êtres centrés sur eux-mêmes qui ne se souciaient pas des souffrances qu’ils laisseraient derrière eux ?

·        Sont-ils des êtres égoïstes qui ne réfléchissent pas aux conséquences de leurs actes ?

    Le suicide est-il la seule possibilité de fuir le mal-être ?

 

«Suicides – Témoignages de l’au-delà » est un livre témoignage UNIQUE. Les 15 témoignages qu’il contient constituent un enseignement bouleversant.

 

L’auteur est connu pour établir nombre de contacts avec des personnes se trouvant de l’autre côté. Il pratique la TCI (transcommunication instrumentale). Autrement dit, il parvient, à l’aide d’un caméscope, à enregistrer les voix des morts et à photographier ces derniers.

Il a également travaillé sur de nombreuses affaires criminelles et permis parfois à la gendarmerie d’avancer sur des cas non élucidés.

 

«Suicides – Témoignages de l’au-delà » est préfacé par Marie-Pierre Ferrer, docteur en psychologie sociale de la santé et psycho-criminologue. Marie-Pierre Ferrer est titulaire d’un master de recherche en psychologie sociale de la santé, d’un diplôme international de 3e cycle en analyse des comportements déviants et criminels, d’un diplôme international de 3e cycle de profil spécifique et d’une maîtrise de psychopathologie clinique.